DU COL DU PORTILLON A LA CABANE DE PEYREHITTE

05.08.2014

Bornes frontière 366 à 397
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738 Portillon Cabane de Peyrehitte.zip
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Carte IGN

Capture sur Google Earth

  • Col du Portillon 1292 m
  • Guillamat 1393 m
  • Col de Simourère 1413 m
  • Mail de Regadès 1531 m
  • Sommet de la Laque 1900 m
  • Col de Panech 1781 m
  • Cap de Coumelongue 1924 m
  • Col 1909 m
  • Pic de Saublanque 1951 m
  • Tuc de Poujastou 2015 m
  • Col de la Montagnette 1972 m
  • La Montagnette 1992 m
  • Col de Hont Herede 1902 m
  • Tuc de Bidur 2019 m
  • Col de Bidur 2001 m
  • Plan de la Serre 2020 m
  • Col 1955 m
  • Sommet de Prat Pardin 1982 m
  • Col de Poune 1909 m
  • Tuc de Trois Courets 1949 m
  • Plan de Montmajou 2082 m
  • Col des Taons de Bacanère 1976 m
  • Cabane de Peyrehitte 1945 m
  • Depart 10h03
  • Longueur 15.600 km
  • Denivelé 1595 m
  • Descente 950 m
  • Marche
  • Arret
  • Duree 9h33

C’est un parcours qui se déroule sur deux jours et qui nécessite deux véhicules. L’un sera déposé à Gouaux-de-Luchon, l’autre laissé au col du Portillon point de départ.

Rejoindre le col du Portillon par Bagnères-de-Luchon. En face du parking, il y a un gros rocher sur lequel est gravée la croix 366. Une grosse borne au milieu de la route marque le passage de la frontière.

Pour suivre le début de la randonnée, c’est-à-dire toute la partie dans la forêt, un GPS et le tracé préenregistré peut s’avérer utile.

Pour débuter le parcours, suivre la piste en face du parking. Il faut la quitter assez rapidement pour passer à travers la forêt et rester sur la ligne de la frontière. Cela ressemble à un parcours du combattant. La croix 367 n’est pas évidente à trouver. Petit à petit la traversée de la forêt va s’améliorer. Après le Mail de Regadès, une zone de chablis nous a obligés à faire un détour par l’Ouest dans le bois, le retour sur la frontière, à peu de distance de la borne 374,  s’est fait une fois sortie de la zone boisée en prenant une pente herbeuse et raide.

A partir de la borne 374 le reste du trajet sur la crête frontière jusqu’au col des Taons de Bacanère ne présente pas de difficulté particulière.

Nous avions prévu un bivouac mais la météo n’était pas trop favorable brouillard et humidité toute la journée. Arrivés au col des Taons nous avons tenté d’aller trouver à la cabane de Peyrehitte un abri. En allant vers la cabane nous avons rencontré le berger qui nous a expliqué qu’il y avait deux cabanes, la sienne et une deuxième qui sert pour les randonneurs. Par contre il n’y a pas d’eau a la cabane, il faut en prendre à mi-chemin entre le col et la cabane. Il y a de la place pour personnes.  

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